Offshore – uniquement en digital pour l’instant. Si je suis un touche-à-tout c’est parce que tout me touche. 19 titres enregistrés sur une période d’un an et demi. Littéralement «Offshore» veut dire loin du rivage, qui pour moi signifie une certaine liberté de ton dans la création de ces chansons. Collaboration avec Christophe Calpini, arrangeur contemporain.
«Sois sans temps» d’expérience avec 35 jeunes musiciens de talent. Des somptueux arrangements d’ Antoine Auberson. Un souvenir de musique et d’amitié très puissant avec, entre autres, mes deux enfants musiciens! Un anniversaire inoubliable, filmé et enregistré en intégralité.
Mon retour sur une scène parisienne. Concert enregistré à l’Alhambra, temple de la musique actuelle, avec sept musiciens dans une atmosphère très éléctro/poético/lyrique. Une première expérience plus «Slamée» dans une mise en espace lumineuse de la chorégraphe Diane Decker. Le souvenir d’un bon groove puissamment élastique!
Ma rencontre entre l’électro du groupe Stade et mon univers plutôt acoustique. Une incursion dans un slam poétique. Le groove de Stade me fait pousser des ailes de mots.
Musique de danse composée pour la compagnie Alias de Guillermo Botelho. Ce danseur brésilien m’a beaucoup apporté par son énergie vitale et son sens inné du spectacle. «En Manque» et «Moving a perhaps» sont deux créations éblouissantes.
Compilation de 21 chansons choisies par l’équipe de Milan Music.
Trois titres du spectacle faisant partie d’«Expo 02». CD enregistré en studio avec un merveilleux choeur de jeunes du lycée Blaise-Cendrars dirigé par mon ami François Cattin. Jamais je n’oublierai la lumière dans leurs yeux sur le pont de notre bateau au large de Grandson dans la nuit sur le lac.
Réédition et remastering comportant entre autres: «Taxi Driver», «Le temps de vivre», «Ronde de nuit», etc. Grande liberté d’expression et prise de risque maximum.
Solo enregistré en 1984 et retravaillé en studio avec des musiciens magnifiques. La sublime voix de Maurane, le talent fou de Sébastien Santa-Maria, la basse magique de Léon Francioli et le savoir faire de Gaspard Glaus. Réédité et remasterisé en 2001.
Une expérience fantastique pour moi d’enregistrer la plupart des titres de ce CD en solo avec un grand piano noir dans le studio du Flon avec Benoit Corboz comme capitaine de vaisseau. Des chansons plutôt intimes comme «Gilou», «Où sont ceux qu’on aime», «Femme de jour femme de nuit» et «Merci».
Chaque mercredi matin à la rédaction du journal « l’Hebdo » j’étais invité à choisir un thème dans l’actualité brûlante du moment.
Compilation de 1974 à 2000 de mes meilleures chansons. C’est un sentiment étrange d’entendre tous ces titres… à la fois du bonheur et de la nostalgie. Ces chansons maintenant vous appartiennent!
Au delà du jeu de mots facile, la rencontre triangulaire entre le Big Band de Lausanne, mon ami Jean-François Bovard et moi, pour une explosion originelle! Enregistré au Montreux jazz Festival auditorium Stravinski le 16 juillet 1997.
Une rencontre sous haute tension avec l’une des plus grandes comédiennes/chanteuses de notre pays. Double CD enregistré en live à l’Opéra de Lausanne. Deux heures sur une table en compagnie d’Yvette Théraulaz, c’est le paradis en enfer comme dirait l’autre. Mais au fond, ça tombe bien, car si je devais choisir entre le paradis et l’enfer, je choisirais le paradis pour son climat et l’enfer pour ses rencontres!
Produit par René Gonzalez, directeur du théâtre de Vidy, en collaboration avec la Border Line Music Prod, ma rencontre explosive avec deux monstres fantastiques, Léon Francioli et Nunuss Bourquin issus de la galaxie du freejazz. De l’amour/humour libertaire!
Double CD enregistré à L’Octogone de Pully en Suisse. Grâce à la rencontre avec Piano Seven, j’ai pu reprendre mon pied avec le marimba et donc renouer avec ma première passion, la percussion. La présence de Brigitte Meyer, pianiste hors norme à la musicalité lumineuse a été pour moi un bain de jouvence.
Enregistrement live dans un studio mythique parisien avec grand orchestre en direct et mes chers amis musiciens les «Castors». Une ambiance particulièrement swinguante et généreuse.
En plein dans la chanson française des années 80, des mélodies lyriques jusqu’au cou, la bouche grande ouverte pour dire le bonheur de chanter! Jamaïca , Femme mariée et scène noire.
Dans les années 90, une certaine naïveté libertaire… CD enregistré dans l’innocence baroque «Dans un monde où tous les contraires seraient harmonieusement possibles».
Comme ma première surprise party, Ophélie, ma première chanson qui est partie toute seule dans le grand bain du show business parisien des années 1975 en obtenant le 1er prix du festival de Spa. Vintage!
